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Stick ou baume à lèvres, lequel choisir ?

Illustration - Stick ou baume à lèvres, lequel cho

Par Goffkein

Les produits destinés aux soins des lèvres sont variés dans leurs compositions, leurs textures et leurs présentations. Faites le bon choix selon vos besoins !

Qu’elles soient soumises au froid, à un soleil intense, aux effets asséchants de certains médicaments, ou aux variations hormonales durant la grossesse ou la ménopause, les lèvres ont besoin de matières grasses pour se protéger et retrouver leur souplesse. Puisqu’elles n’ont pas de follicule pileux à leur surface, elles sont d’ailleurs encore plus fragiles que l’épiderme. Pour les préserver, on peut utiliser des sticks à l’action hydratante, ou des baumes, plus riches encore.

Des formules classiques

L’ensemble des soins formulés pour les lèvres, quelles que soient leurs présentations, permettent une bonne hydratation. Ils associent des agents gras sous forme d’huiles et de beurres notamment, des cires (pour leur action filmogène) et quelques actifs cicatrisants, apaisants ou émollients, voire des filtres anti-UV.
Parmi les ingrédients les plus fréquemment retrouvés dans les soins pour les lèvres figurent les huiles végétales comme celles de ricin, de tournesol, d’argan, d’amande douce, de coco… Des beurres végétaux sont également fréquemment ajoutés à la formule : beurre de karité ou de cupuaçu, notamment. Côté cires, celle d’abeille est bien-sûr un grand classique, complétée parfois de cire de carnauba, par exemple.

Sur des lèvres très abîmées

Lorsque la peau des lèvres est très gercée, il faut préférer les baumes (qu’ils soient fluides, conditionnés dans des tubes avec embout applicateur, ou en pot, à appliquer au doigt) aux sticks classiques dont l’application serait douloureuse.
Concernant la composition, évitez la lanoline qui ne fait pas bon ménage avec les lésions. Par contre, plein feux sur les actifs apaisants et cicatrisants comme le pathénol, la vitamine E, le bisabolol… En répétant les applications plusieurs fois par jour et en limitant l’exposition au froid et au soleil, la réparation sera rapide.
Chez l’enfant, il arrive que les lèvres gercées soient associées à une irritation de la peau autour de la bouche. C’est notamment le cas lorsque les petits hypersalivent au moment des poussées dentaires. Dans ce cas, le soin des lèvres peut ne pas suffire. Vous pouvez également utiliser des crèmes spécialement formulées (« soin péri-oral »), qui contiennent des ingrédients venant neutraliser l’action irritante de la salive.
La question des filtres solaires
Certains produits pour les lèvres contiennent des filtres anti-UV. S’ils ont leur intérêt en cas d’exposition particulièrement intense (à la montagne, en plein été…), il n’est pas recommandé de les utiliser au quotidien. En effet, les soins pour les lèvres sont des produits dont une partie risque d’être ingérée. Or, ces filtres anti-UV ne sont pas anodins car des éléments de leur composition peuvent présenter une certaine toxicité à long terme en fonction des quantités absorbées par l’organisme. Très utiles et inoffensifs ponctuellement, on évitera cependant de les utiliser lorsqu’ils ne sont pas indispensables.

Qu’elles soient soumises au froid, à un soleil intense, aux effets asséchants de certains médicaments, ou aux variations hormonales durant la grossesse ou la ménopause, les lèvres ont besoin de matières grasses pour se protéger et retrouver leur souplesse. Puisqu’elles n’ont pas de follicule pileux à leur surface, elles sont d’ailleurs encore plus fragiles que l’épiderme. Pour les préserver, on peut utiliser des sticks à l’action hydratante, ou des baumes, plus riches encore.
Des formules classiques
L’ensemble des soins formulés pour les lèvres, quelles que soient leurs présentations, permettent une bonne hydratation. Ils associent des agents gras sous forme d’huiles et de beurres notamment, des cires (pour leur action filmogène) et quelques actifs cicatrisants, apaisants ou émollients, voire des filtres anti-UV.
Parmi les ingrédients les plus fréquemment retrouvés dans les soins pour les lèvres figurent les huiles végétales [insérer lien vers Optez vers ces précieuses huiles végétales] comme celles de ricin, de tournesol, d’argan, d’amande douce, de coco… Des beurres végétaux sont également fréquemment ajoutés à la formule : beurre de karité ou de cupuaçu, notamment. Côté cires, celle d’abeille est bien-sûr un grand classique, complétée parfois de cire de carnauba, par exemple.

Sur des lèvres très abîmées

Lorsque la peau des lèvres est très gercée, il faut préférer les baumes (qu’ils soient fluides, conditionnés dans des tubes avec embout applicateur, ou en pot, à appliquer au doigt) aux sticks classiques dont l’application serait douloureuse.
Concernant la composition, évitez la lanoline qui ne fait pas bon ménage avec les lésions. Par contre, plein feux sur les actifs apaisants et cicatrisants comme le pathénol, la vitamine E, le bisabolol… En répétant les applications plusieurs fois par jour et en limitant l’exposition au froid et au soleil, la réparation sera rapide.
Chez l’enfant, il arrive que les lèvres gercées soient associées à une irritation de la peau autour de la bouche. C’est notamment le cas lorsque les petits hypersalivent au moment des poussées dentaires. Dans ce cas, le soin des lèvres peut ne pas suffire. Vous pouvez également utiliser des crèmes spécialement formulées (« soin péri-oral »), qui contiennent des ingrédients venant neutraliser l’action irritante de la salive.

La question des filtres solaires

Certains produits pour les lèvres contiennent des filtres anti-UV. S’ils ont leur intérêt en cas d’exposition particulièrement intense (à la montagne, en plein été…), il n’est pas recommandé de les utiliser au quotidien. En effet, les soins pour les lèvres sont des produits dont une partie risque d’être ingérée. Or, ces filtres anti-UV ne sont pas anodins car des éléments de leur composition peuvent présenter une certaine toxicité à long terme en fonction des quantités absorbées par l’organisme. Très utiles et inoffensifs ponctuellement, on évitera cependant de les utiliser lorsqu’ils ne sont pas indispensables.

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